Top 10 des excuses bidons des infidèles : le best-of du mensonge conjugal

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L’infidélité, ce vieux serpent de mer des relations amoureuses…

On aimerait croire que ça n’arrive qu’aux autres, mais les statistiques sont là pour nous rappeler que le démon de la tentation rôde.

Et quand il frappe, c’est souvent accompagné de son fidèle acolyte : l’excuse bidon. Parce qu’avouer ses torts, c’est trop dur.

Alors on invente, on brode, on se démène pour trouver LA justification qui fera passer la pilule. Résultat ?

Un festival de mauvaise foi qui ferait presque rire… si ce n’était pas si triste.

Allez, on enfile nos bottes et on plonge dans le grand bain des excuses foireuses !

1. Le grand classique : « C’est pas ce que tu crois ! »

Ah, la reine des excuses, celle qu’on sort quand on est pris la main dans le sac (ou ailleurs). Une valeur sûre qui a traversé les âges. Le problème ? C’est justement ce que l’autre croit, et il a raison de le croire. Mais bon, on tente le coup, on ne sait jamais…

Variante moderne : « C’était juste pour le travail, je te jure ! » Parce que de nos jours, apparemment, les réunions professionnelles se tiennent en petite tenue dans des chambres d’hôtel. L’évolution du monde du travail, sans doute.

2. L’excuse du blackout : « J’avais trop bu, je ne me souviens de rien »

Un grand classique qui a le mérite de jouer sur deux tableaux : l’apitoiement (« regarde comme je suis misérable ») et le déni de responsabilité (« ce n’était pas vraiment moi »). Pratique quand on veut éviter les questions gênantes sur les détails de la soirée.

Petit conseil aux amateurs : assurez-vous d’avoir vraiment l’air mal en point le lendemain. Une gueule de bois feinte, ça se repère vite.

3. La faute à pas de chance : « J’ai glissé, je suis tombé, c’est un accident ! »

Ah, la fameuse chute malencontreuse qui vous fait atterrir pile poil dans les bras (ou le lit) de quelqu’un d’autre. Un grand moment de créativité narrative, digne des meilleurs scénarios de sitcom. On apprécie l’effort d’imagination, mais franchement, qui y croit encore ?

Note aux maladroits chroniques : évitez de sortir cette excuse plus d’une fois dans votre vie. Même les plus crédules finissent par avoir des doutes.

4. Le coup de la thérapie : « C’était pour sauver notre couple »

Parce que rien ne dit « je t’aime » comme coucher avec quelqu’un d’autre, n’est-ce pas ? Cette excuse a le mérite d’être audacieuse. On admire presque le culot de présenter l’infidélité comme un acte altruiste. Presque.

Variante new age : « Je voulais explorer ma sexualité pour mieux me connaître ». Parce que l’épanouissement personnel passe forcément par le lit des autres, c’est bien connu.

5. L’excuse du missionnaire : « C’était juste physique, ça ne voulait rien dire »

Ah, la bonne vieille séparation du corps et de l’esprit ! Comme si le fait que ce ne soit « que » physique rendait la chose moins grave. C’est vrai qu’après tout, ce n’est que votre corps qui a trompé, votre cœur est resté fidèle. Logique imparable.

Conseil aux adeptes de cette excuse : évitez de la sortir si vous avez passé plus de temps avec votre amant(e) qu’avec votre conjoint(e) ces derniers mois. Ça pourrait nuire à la crédibilité du propos.

6. La vengeance préventive : « Je suis sûr(e) que tu m’as trompé(e) aussi ! »

Ah, la bonne vieille technique de l’attaque pour se défendre. Pourquoi s’excuser quand on peut accuser ? C’est pratique, ça détourne l’attention et ça permet de jouer les victimes. Le seul hic ? Si votre partenaire est vraiment fidèle, vous passez pour un parano doublé d’un infidèle. Pas très glorieux.

Astuce pour les paranos : assurez-vous d’avoir des « preuves » solides avant de lancer ce genre d’accusations. Un sourire à la boulangère du coin ne compte pas comme une preuve d’adultère.

7. L’excuse du bon samaritain : « Il/Elle avait besoin de réconfort »

Parce que rien ne dit « je suis là pour toi » comme une partie de jambes en l’air, pas vrai ? Cette excuse tente de faire passer l’infidélité pour un acte de pure bonté. C’est beau l’altruisme, vraiment. Dommage que ça implique de blesser son propre partenaire au passage.

Variante moderne : « C’était pour son bien-être mental, tu comprends ». Parce qu’apparemment, certains pensent que leurs attributs ont des pouvoirs thérapeutiques. L’ego, toujours l’ego…

8. L’excuse du malentendu : « Je ne savais pas qu’on était exclusifs »

Ah, les joies de la communication moderne ! Apparemment, pour certains, il faut explicitement dire « On est ensemble, donc ne va pas coucher à droite à gauche » pour que ce soit clair. C’est vrai qu’après 5 ans de vie commune et 2 enfants, on peut encore avoir des doutes sur le statut de la relation…

Conseil aux adeptes de cette excuse : assurez-vous de ne pas avoir « Je t’aime » tatoué quelque part sur le corps. Ça pourrait nuire à votre crédibilité.

9. L’excuse du dédoublement de personnalité : « Ce n’était pas vraiment moi »

Parce qu’apparemment, on peut avoir un sosie qui prend le contrôle de notre corps de temps en temps, juste pour aller tromper notre conjoint. Pratique, non ? Cette excuse tente de jouer la carte de la dissociation, comme si on n’était pas responsable de nos actes.

Note aux amateurs de science-fiction : évitez de parler de possession démoniaque ou d’enlèvement par des extraterrestres. Même les plus crédules ont leurs limites.

10. L’excuse de la dernière chance : « C’était une erreur, ça ne se reproduira plus »

Le grand final, l’ultime recours quand toutes les autres excuses ont échoué. On admet à moitié sa faute, on promet que c’était exceptionnel, on jure ses grands dieux que ça n’arrivera plus jamais. Le problème ? C’est souvent un mensonge de plus. Et quand ça se reproduit (parce que ça se reproduit souvent), on perd définitivement toute crédibilité.

Petit conseil aux récidivistes : si vous vous retrouvez à utiliser cette excuse plus d’une fois, il est peut-être temps de vous remettre en question. Ou de prendre des cours de créativité pour trouver de meilleures excuses.

Le mot de la fin

Voilà, vous avez maintenant un aperçu des excuses les plus bidons que les infidèles peuvent sortir quand ils sont pris la main dans le sac. C’est à la fois drôle et triste, n’est-ce pas ? Drôle parce que certaines excuses sont tellement absurdes qu’on se demande comment quelqu’un peut penser que ça va marcher. Triste parce que derrière chacune de ces excuses, il y a une relation brisée, de la confiance trahie, des cœurs brisés.

Alors, que retenir de tout ça ? Peut-être que la meilleure approche, quand on a fait une erreur, c’est encore d’être honnête. Ça fait mal sur le moment, c’est sûr. Mais au moins, on garde sa dignité. Et qui sait ? Peut-être que cette honnêteté sera le premier pas vers la reconstruction de la confiance.

En attendant, la prochaine fois que vous entendrez l’une de ces excuses, vous saurez. Et vous pourrez toujours répondre : « Vraiment ? C’est la meilleure que tu aies trouvée ? » Parfois, un peu d’humour peut aider à surmonter les moments difficiles. Même si, avouons-le, l’infidélité n’a vraiment rien de drôle.

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Rédacteur du site Economie News spécialiste de l'économie, il est passionné par l'économie et les nouvelles technologies. Il publie des actualités liées à l'économie, la finance et les technologies. Il est actuellement Gérant de la société Impact Seo, une agence web basée Aix-En-Provence.

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